Un rêve, une passion
Tom Dumoulin a créé la société FRANCEVEL il y a de cela quatre ans. Il a su se frayer un chemin sur le marché des vélos électriques français, grâce à la technologie de ses batteries (Lithium Lifepo4) de la marque Tomybike. Mais le développement de son entreprise ne s’arrête pas là, Tom Dumoulin veut atteindre actuellement le marché des BtoB du vélo électrique français. Si auparavant, tous la fabrication était sous-traités en Asie, le jeune chef d’entreprise ambitionne désormais de produire ses vélos électriques sur le territoire hexagonal. Doté d’une expérience significative, l’entrepreneur français dispose d’un atout de taille pour mener son projet sur la voiee du succès.
Passer à la vitesse supérieure pour se démarquer
Même si le marché du vélo électrique français est assez prolifère, le taux de croissance doit encore s’accélérer, car c’est encore loin d’être suffisant. Si au départ, il n’était qu’une dizaine à exploiter ce marché, ils sont désormais plus d’une trentaine de fabriquant de vélo électrique français. C’est donc une nécessité pour l’entreprise FRANCEVEL de se démarquer et d’affirmer encore plus sa position et ses engagements. Pour ce faire, rien de mieux que le développement des activités proposées par l’entreprise en participant efficacement à la réindustrialisation française et en innovant grace à la technologie des batterie. Le principal but de ce projet est donc de relocaliser la production en France pour la distribution des 2 roues électriques (que ce soit les vélos électriques français, les trottinettes ou les miniscooters) dans toute l’Europe. Et tout cela, en mettant un point d’honneur sur l’innovation, la performance, la qualité, mais surtout l’impact du vélo électrique français et des batterie lithium Lifepo4 sur l’environnement.
Vers la réalisation
Pour la réalisation de ce projet, Tom Dumoulin est à la recherche d’investisseurs. Son partenaire industriel asiatique n’a pas hésité à faire part de son intérêt, en tant qu’investisseur et fournisseur de fonds. La somme de 600 000 euros est tout de même nécessaire pour démarrer l’aventure dans les règles de l’art. Dès la mise en place de cette usine, cela engendrera une dizaine d’embauches, dont quatre monteurs, un électronicien et cinq commerciaux répartis sur toute l’Europe. Si au départ, le lieu d’implantation de l’usine spécialisée dans la fabrication de vélo électrique français devait se faire à PACA, d’autres régions ont fait part de leur interet pour une implantation régionale. Par exemple le Limousin a dèjà mis en contact la société france VEL avec des investisseur pour propulser l’entreprise de vélo électrique français. des contacts sont en cours également avec la région Rhône-Alpes.